BENJAMIN ALIRE SAENZ - ARISTOTE ET DANTE DÉCOUVRENT LES SECRETS DE L'UNIVERS

L'histoire

Etats-Unis. Aristote, 15 ans, mène une existence difficile entre un frère en prison et un père hanté par ses souvenirs de guerre.
Il rencontre Dante, un garçon du même âge, qui est très expansif et a une vision du monde bien à lui. Une profonde amitié naît entre eux, puis une véritable histoire d'amour.

Mon avis

Je viens de finir ce livre et j'en ai encore les larmes aux yeux... Ce livre est profondément touchant, émouvant. J'ai vraiment pris une grosse claque, mais dès la fin du livre, on voudrait tellement reprendre la lecture pour se replonger dans cette histoire.

Les personnages sont juste merveilleux et attachants, autant les deux jeunes Aristote et Dante, que leurs parents.

C'est vraiment difficile de dire ce que ce livre a pu nous faire ressentir :
l'amitié entre ces deux jeunes, l'amour fou, la tolérance, mais aussi beaucoup de douleurs, de solitude, de questionnements sur la vie. 
C'est une ode à la Vie, à l'Amour et à l'Acceptation de l'Autre.

L'écriture de Benjamin Alire Saenz est magnifique, fluide, pleine de douceur, de poésie et de tendresse. C'est une petite gourmandise que l'on déguste sans modération. On pleure à certains moments, on rit, on souffre avec Aristote et Dante, on s'interroge aussi sur nos rapports à la vie et aux autres.

Ce livre est une pépite, un énorme coup de coeur en ce qui me concerne... Tout le monde devrait lire ce livre, autant les jeunes que les adultes.
Une fois commencé, on n'est littéralement enchainé à ce livre et on n'a beaucoup de mal à le lâcher. Plus les pages passent, et plus vous voulez vivre cette vie avec ces deux adolescents.

J'avais lu de bons avis sur ce livre, mais je n'avais jamais chercher à en savoir plus sur l'histoire en elle-même, garder une part de surprise à la lecture.

LISEZ CE LIVRE !!!
Offrez le à vos enfants, vos amis, vos parents (votre chien !) !!!

Un extrait (non des extraits !)

"Un autre secret de l'univers : parfois, la douleur est comme une tempête venue de nulle part. La matinée la plus ensoleillée peut se conclure par un orage. Par des éclairs et du tonnerre."

"– J'aurais tellement aimé qu'il pleuve, a dit Dante.
– Je n'ai pas besoin de la pluie. J'ai besoin de toi.  "

"Je me suis dit que les poèmes étaient comme les gens. On en comprend certains immédiatement, d'autres jamais."

"Je me demandais ce que ça faisait de tenir quelqu’un par la main. Je parie qu’on trouve tous les mystères de l’univers dans la main de quelqu’un.  "